La vidéo devient le format ludique par excellence en ligne. C’est une tendance qui se consolide et se développe peu à peu. Tous les canaux en ligne sont concernés. Ce format est très utilisé dans le domaine du marketing. Aujourd’hui, la vidéo et l’envoi de courrier électronique sont désormais liés. En laissant de côté les étapes techniques pour intégrer des vidéos dans les e-mails, voici 4 bonnes raisons de commencer à envoyer des e-mails hébergeant une vidéo.
La vidéo, un bon moyen de communication sur les réseaux sociaux
Le partenariat entre les réseaux sociaux et les vidéos est devenu étroit de nos jours. Il suffit d’ouvrir un compte sur Facebook, Instagram ou Twitter pour se rendre compte que la priorité donnée au format vidéo pour communiquer, s’exprimer ou informer autrui est mise en avant. Cette tendance concerne les internautes et les marques. De récentes analyses ont révélé que les internautes surfant sur le Net sont à la recherche de contenus de marque. Le nombre de visionnages de contenus de marque double en 12 mois. Les abonnements aux chaînes des entreprises ont augmenté de 47 % entre 2014 et 2015. De plus, le pourcentage de ces chiffres ne cesse d’augmenter année après année.La vidéo, le format le plus populaire selon des chiffres
Des études et des rapports sur la popularité des vidéos et du marketing vidéo sont nombreux. En voici quelques exemples :- YouTube compte plus d’un milliard d’utilisateurs, cela représente un tiers du total des internautes. Ils passent en moyenne un milliard d’heures par jour à visionner des vidéos.
- Selon l’étude effectuée par Google, le visionnage de vidéo sur mobile double chaque année et cela représente plus de 80 % du trafic web total en 2019.
- 97 % d’internautes rapportent que les vidéos les aident à prendre des décisions d’achat. De plus, ces mêmes personnes affirment qu’une publicité vidéo est à l’origine de ce chiffre.
- Business Insider a estimé à 200 % la croissance des vidéos vues sur Facebook. 4 milliards de personnes en ont visionné au début de 2015, puis ce chiffre passe à 12 milliards au début de 2016.